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this house doesn't burn down slowly. (hudson)

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MessageSujet: this house doesn't burn down slowly. (hudson) this house doesn't burn down slowly. (hudson) Icon_minitimeVen 11 Jan - 14:23


lowell anders hudson
NOW DON'T YOU UNDERSTAND,
THAT I'M NEVER CHANGING WHO I AM.

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NOM : Hudson.
PRÉNOM : Lowell.
ÂGE : vingt-trois ans.
STATUT DU SANG : sang-mêlé.
DATE DE NAISSANCE : 14/05/54.
LIEU DE NAISSANCE : Londres, UK.
STATUT AMOUREUX : célibataire.
EMPLOI : bibliothécaire (Poudlard).
GROUPE : order of the phenix.
CÉLÉBRITÉ : Kit Harington.

WELCOME TO OLLIVANDERS ✲ C'est la baguette qui choisit le sorcier a-t-on dit, et il semblerait que celle que Lowell possède l'ait bien trouvé : érudit, observateur, cordial, réservé, pessimiste, méfiant ; c'est principalement dans sa magie que transparaît le caractère enflammé de ce grand sorcier. La magie du bois de rosier associée à la puissance d'une plume de phénix participent ainsi à toute la puissance de cette baguette : sa spécialité reste l'implacable art des sortilèges si complexe.

8 BUSES ◊ 8 ASPICS
001. Lowell ne connait quasiment pas son géniteur et ce manque, constant, le ronge. Son père, Mordred Hudson, était un moldu qui apprit la véritable identité de sa femme peu de temps après la naissance de son fils cadet. Il prit peur et s'enfuit, laissant derrière lui son épouse et ses deux enfants. Il n'a jamais redonné le moindre signe de vie. ◊ 002. Hugh Hudson, de son véritable prénom Heathcliff, son frère, est la personne dont il est le plus proche. Il est âgé de vingt-six ans et est marié à une moldue. Ils ont eu une petite fille, du nom d'Alice, née en 1974. Hugh tient une petite librairie à Pré-au-Lard ; une boutique que Lowell ne manque pas de visiter régulièrement. ◊ 003. Élevé suivant des idéaux féministes très poussés, Lowell n'a de cesse d'acclamer, de vénérer, les femmes. Gentleman et passablement niais, il n'est pas rare de le voir galoper derrière un troupeau de demoiselles, les bras chargés de sacs. ◊ 004. Le fait qu'il préfère la compagnie des livres à celle des humains n'est pas sans raison. Maladroit, sa franchise est souvent exacerbée et ses paroles dépassent fréquemment sa pensée. De fait, il adopte une attitude austère, pieuse, qui s'accorde avec son habituel silence confus. ◊ 005. S'il a rejoint l'Ordre, ce n'est que pour faire la fierté de sa mère qui désespère de le voir un jour marié et père. Josephine Hudson le compare souvent à son frère aîné ; le grand, le beau, le fascinant Hugh. A vingt-trois ans, ce dernier avait déjà une épouse comblée et une fillette. De fait, exaspéré par ses remarques (justes pour la plupart), Lowell s'inventa une passion pour la défense des nés-moldus et un dégoût profond à l'égard du célèbre Mage Noir. ◊ 006. A présent au sein de l'Ordre du Phénix, Lowell est confronté à des crises dont il comprend à peine l'ampleur. Il se bat vaillamment mais reste intimement persuadé que leur quête est vouée à l'échec. Loin d'être utopiste, et arborant un état d'esprit plutôt manichéen, il avance prudemment sur la voie sur laquelle on l'a mené, convaincu que les armes devront bientôt être rendues. ◊ 007. Être un sorcier a toujours eu un aspect plutôt dérangeant pour Lowell. Il n'a aucune honte de ce qu'il est, de ce que sa famille maternelle a toujours été, mais à choisir il aurait préféré être « normal ». Le monde des moldus lui paraît incroyablement plus attrayant que celui des sorciers mais, envoyé à Poudlard dès ses onze ans et malgré son enfance passée à Londres, il n'a aucune idée de ce qu'est cet univers en réalité. Un univers qui lui rappelle curieusement son père et ce qui n'est pas pour lui plaire. ◊ 008. L'après-midi idéal pour lui se résume à lire un bon livre devant une cheminée, au sein de laquelle crépitent des flammes orangées. Il a conscience d'être assez vieux-jeu, comme le remarque souvent sa mère, mais n'en a cure. ◊ 009. Gentleman, et cruellement timide lorsqu'il s'agit de jeu de séduction, Lowell devient aisément maladroit quand la tension l'étouffe. Tout lui glisse des mains et il n'est pas rare de le voir s'étaler à terre lorsqu'il est en charmante compagnie, ses pieds s'étant pris dans le tapis ou dans une autre surface improbable.

→ 001. L’AVÈNEMENT DE VOLDEMORT, SES MANGEMORTS ; QU'EN PENSE VOTRE PERSONNAGE ? : Ce n'est pas un phénomène nouveau ; seulement, jamais Lowell ne l'avait vu prendre une telle ampleur. La menace se fait plus dense, plus épaisse, et rien ne semble susceptible de faire revenir ces hommes à la raison. La haine à l'égard des nés-moldus a toujours été profondément ancrée dans le cœur des sorciers (Salazar Serpentard lui-même souhaitait enseigner la magie aux plus purs d'entre tous) mais aujourd'hui, avec l’avènement de Voldemort, plus personne ne tente de dissimuler ce dégoût. Chose que Lowell ne parvient pas à cautionner ; une terrible ségrégation, qui lui rappelle vaguement certains de ses cours d'Histoire, est en train de prendre forme. Personnellement, le cadet des frères Hudson n'est pas le plus à craindre : son sang est certes mêlé mais son impureté n'est pas celle à laquelle les Mangemorts s'intéressent. Par ailleurs, Lowell craint cette menace – il faudrait être bien sot pour ne pas trembler devant une telle force démoniaque – sans pour autant le montrer. Disons que sa place au sein de la bibliothèque de Poudlard le pousse à faire penser aux élèves que rien n'est capable de le faire trembler. Étrange chimère, lorsqu'on y songe.

→ 002. DUMBLEDORE ET SON ORDRE DU PHÉNIX, L'AVIS DE VOTRE PERSONNAGE : Lowell a toujours eu une grande estime à l'égard du puissant sorcier qu'est Dumbledore. Néanmoins, s'il devait être honnête, la création de l'Ordre du Phénix lui paraissait quelque peu osée. A ses yeux, ce groupe rassemblait des personnes qui se complaisaient dans le fait d'être de la chair à canon. Un seul avenir leur était réservé, leurs actes ne pouvaient déboucher que sur une unique finalité : la mort. S'il les a rejoints, à la base, ce n'était que pour se débarrasser des médisances que sa mère lui jetait régulièrement à la figure. Incertain, craintif et plus posé que la moyenne, Lowell s'est rapidement rendu compte qu'il se battait pour une juste cause – même si la peur jalonne à présent son existence. L'Ordre du Phénix est peut-être un cercle de suicidaires névrosés, que Lowell a intégré sur un coup de tête, mais grâce à ses membres, la vie du bibliothécaire a radicalement changé.


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RAVENCLAW IS YOUR HOME
Te voici officiellement accepté dans la maison des bleu et bronze, les sages et érudits personnages de la maison de Rowena Serdaigle. Si le Choixpeau voit en toi toutes les qualités d'un grand sorcier, ta destinée reste entre tes mains ; à toi de suivre ta voie, aussi glorieuse ou complexe soit-elle.
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toi, toi derrière l'écran
✲ PSEUDO : Ophée. ✲ PRÉNOM : Ophélia. ✲ PERSONNAGE : inventé (pour le plaisir de ces dames et de messieurs les livres). ✲ PAYS : Douce Franceuuuh, cher pays de mon enfanceuuuh. ✲ OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM : il est tombé du ciel lorsque j'étais aux toilettes. ✲ TON AVIS SUR SR : tout pourri, franchement, ignoble. ✲ UN DERNIER MOT : - C'est une bonne situation, ça, scribe ? - Vous savez, moi je ne crois pas qu’il y ait de bonne ou de mauvaise situation. Moi, si je devais résumer ma vie aujourd’hui avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres. Des gens qui m’ont tendu la main, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j’étais seul chez moi. Et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée... Parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l’interlocuteur en face je dirais, le miroir qui vous aide à avancer. Alors ça n’est pas mon cas, comme je disais là, puisque moi au contraire, j’ai pu : et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie... je ne suis qu’amour ! Et finalement, quand beaucoup de gens aujourd’hui me disent « Mais comment fais-tu pour avoir cette humanité ? », et bien je leur réponds très simplement, je leur dis que c’est ce goût de l’amour ce goût donc qui m’a poussé aujourd’hui à entreprendre une construction mécanique, mais demain qui sait ? Peut-être simplement à me mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de soi...



Dernière édition par Lowell Hudson le Dim 3 Fév - 14:15, édité 13 fois
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MessageSujet: Re: this house doesn't burn down slowly. (hudson) this house doesn't burn down slowly. (hudson) Icon_minitimeVen 11 Jan - 14:24


A HERO OF WAR, YEAH THAT'S WHAT I'LL BE, AND WHEN I COME HOME, THEY'LL BE DAMN PROUD OF ME. (HERO OF WAR ; RISE AGAINST) ----------------------------------------------



13 JUILLET 1977, GODRIC'S HOLLOW ; stay awake with me, let's prove them wrong. Tous hochèrent la tête avec conviction. Tous, sauf Lowell. Les bras croisés et arborant un air astucieusement nonchalant, il jaugeait ses pairs d'un œil interrogateur. Avaient-ils donc tous perdu l'esprit ? A ce stade-là, ce n'était plus une question, même rhétorique, mais une révélation brutale. S'ils désiraient se tuer à la tâche, cela dépendait évidemment de leur bon vouloir, mais jamais le cadet des frères Hudson les rejoindrait dans l'au-delà. Cette certitude, qu'il ne prit pas la peine d'énoncer à haute voix, le fit frémir. En adhérant à l'Ordre du Phénix, il s'était aperçu que certains de ses nouveaux camarades appréciaient côtoyer la mort plus que de raison. Une passion cruellement morbide à laquelle Lowell ne trouvait décidément aucun charme.

De fait, dès qu'une entrevue risquée prenait forme, ils étaient les premiers à y prendre part. Le jeune bibliothécaire restait en retrait, évaluant les risques et approfondissant les recherches. Discuter, envisager toutes les possibilités. Il se racla bruyamment la gorge afin de réclamer un minimum d'attention et, peu à peu, les conversations moururent les unes après les autres. Le jeune homme n'aimait pas mettre en doute les propositions de ses vis-à-vis et, pourtant, il s'acharnait à vouloir les décortiquer. Un comportement qui exaspérait bon nombre de ses compagnons car ces derniers avaient visiblement qu'une seule idée en tête : se plonger à corps perdu, avec perte et fracas, dans le combat.

Les problèmes logistiques ne les intéressaient guère, ce qui était plutôt inquiétant étant donné qu'il s'agissait d'une obédience créée par le fameux Albus Dumbledore. Ce dernier, bien que loufoque, avait toujours fait preuve d'une grande intelligence et d'un sens de déduction qui dépassait de loin l'entendement. Lowell n'avait pas la prétention d'être capable de ramener tout le monde à la raison, il en était conscient. Il ignora le sorcier qui, se trouvant à sa droite, haussa brièvement les épaules. C'était une triste évidence à laquelle Lowell s'était livré quelques minutes auparavant : sa désinvolture, qui était loin d'être feinte, allait sûrement causer sa perte. Enfin, le bibliothécaire joignit ses paumes l'une à l'autre en signe de prière silencieuse ; il savait s'adresser aux adolescents, qui ne contestaient quasiment jamais son autorité, mais les adultes ne parvenaient pas toujours à assimiler ses petites manières.

« C'est une mission dangereuse. » Remarqua-t-il sagement après avoir laissé les dernières discussions se tarir.

Son intervention fut accueillie par quelques ricanements goguenards. Son front se plissa et, poussé par une violente poussée d'adrénaline (savamment orchestrée par une pointe d'agacement), Lowell frappa ses deux poings contre la table en acajou devant laquelle ils étaient tous assis. Ses voisins sursautèrent. Les rires disparurent et tous les regards convergèrent en direction de cet étrange personnage qui, habituellement, faisait preuve d'une placidité inébranlable. Ses boucles brunes s'agitaient furieusement autour de son visage, dont les traits n'exprimaient rien d'autre que de la froideur, alors qu'il menaçait du regard tous ses vis-à-vis.

« C'est une mission dangereuse, répéta-t-il, et les risques pourraient être amoindris. Si seulement vous étiez moins désireux de clamser pour une juste cause. » Sa mâchoire se contracta imperceptiblement. Il se baissa, ramassa sa serviette noire et se leva. Il salua d'un mouvement de menton l'assemblée. « Sur ce, j'espère tous vous revoir lors de notre prochaine réunion. » Nerveusement, et évitant comme à son habitude les regards outrés que certaines femmes lui lançaient, il donna un coup d'épaule à la porte et en franchit le seuil.

Cette situation, devenue habituelle, le ramenait quelques années en arrière. Plus jeune, il était – avec son frère Heathcliff – le spectateur silencieux des souffrances de leur mère. A l'époque, même après dix ans de solitude, elle continuait à pleurer. Des sanglots, qu'elle tentait de dissimuler en vain, s'échappaient régulièrement de sa chambre. Josephine Hudson était une belle femme qui brandissait avec ardeur ses idéaux féministes comme un étendard ; mais la peine qu'elle ressentait était cuisante, brûlante, instable. Ses deux fils, Heathcliff et Lowell, n'étaient pas capables panser ses plaies. De son point de vue, ses problèmes ne les concernaient en rien même s'ils perduraient. Ses tourments n'avaient qu'un seul et unique nom : Mordred Hudson. Celui qui donna son nom de famille à ses deux fils et qui disparut dès qu'il apprit la véritable nature de sa femme. Mère meurtrie, épouse bafouée.

Après avoir intégré l'Ordre du Phénix, il pensait qu'il serait assurément plus bénéfique aux nés-moldus qu'à sa tendre génitrice. Mais ce n'était en rien le cas ; bien au contraire, d'ailleurs, il ne pensait qu'à sa propre sécurité et à celle de ses compagnons. Un fardeau plus que lourd à porter lorsqu'il y songeait.

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