(M/LIBRE) PAUL WESLEY ✲ my heart is beating in a different way

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Rickon Shane Hackett

And now there's no hope for you and me----------------------------------------------

NOM : Hackett.	PRÉNOM(S) : Rickon, Shane.
ÂGE : vingt-sept ans.	STATUT DU SANG : sang-mêlé.
DATE DE NAISSANCE : au choix.	LIEU DE NAISSANCE : au choix.
STATUT AMOUREUX : en couple.	EMPLOI : auror.
GROUPE : order of the phénix.	CÉLÉBRITÉ : paul wesley.

PITY THE LIVING

✲ Rickon est né de l'union de deux né-moldus, il a passé une grande partie de sa vie à être élevé comme un moldu, ses parents ayant choisis de respecter leurs origines. Il a donc beaucoup de connaissances sur le monde moldu. Il est fils unique.
✲ À Poudlard, c'était un étudiant obtenant de bon résultats, mais souvent qualifié de turbulent. On a souvent dit de lui qu'il aimait s'attirer des ennuis. Ceux qui pendaient ainsi n'avaient pas totalement tord.
✲ Il a rejoint l'ordre du phénix peu de temps après sa sortie de Poudlard. Lord voldemort prône la pureté du sang et l'élimination des nés moldus. Ses deux parents étant des nés-moldus il s'est opposé à la philosophie du seigneur des ténèbres.
✲ Il a toujours été du genre provocateur, il pensait que tant qu'il s'en sortait, les conséquences étaient moindre. Seulement, il a provoqué la colère d'un mangemort. Or, l'égo blessé d'un mangemort peut être lourd de conséquences, ainsi pour se venger, ce dernier à assassiné les parents de Rickon. Depuis, il se sent coupable de leur mort et cherche à se venger.
✲ Le problème de Rickon, c'est sans doute que la vengeance et la haine ne lui sied guère, ainsi il n'hésite pas à tremper dans des affaires pas très saines pour arriver à ses fins, il s'est notamment récemment alliée à une mangemorte, Mélisandre (cf liens).
✲ C'était un ami et collègue de Galaad. Il est l'une des rares personnes à savoir qu'il n'est pas décédé. Après le départ de son ami Rickon en a profité pour se rapprocher de Leïa, qu'il ne pouvait se permettre de convoiter lorsque Galaad était présent. Évidemment, il n'a pas l'intention de lui annoncer un jour que son mari est toujours en vie.
✲ Il est en couple avec Leïa-Rose depuis quatre mois, mais les choses ne vont pas en s'améliorant entre eux, sans doute qu'ils campent tous les deux trop sur leurs positions et leur déception respective pour que les choses puissent vraiment avancer.

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together or not at all

Rickon S. Hackett & Leïa-Rose W. JonesGODRIC'S HOLLOW, ANNÉE 1977 ✲
« Ça va aller Rose. » La jeune femme releva timidement la tête vers son ami. Un ami de Galaad à l’origine, mais depuis que ce dernier était mort, il s’était beaucoup rapproché d’elle. Il l’avait soutenu dans cette période difficile de sa vie, il l’aidait à se relever alors qu’elle semblait avoir toucher le fond. Il était là pour elle depuis des mois, patient alors qu’elle semblait ne rien vouloir écouter de ce qu’on lui disait, préférant se terrer dans sa dépression. Il aurait pu la laisser tomber un bon nombre de fois, désespéré de la voir autant amorphe, pourtant, il n’en avait rien fait. Grâce à son aide, elle semblait allait un peu mieux de jour en jour. Une lente renaissance alors que sa vie n’était plus qu’un grand néant. Il ne la laisserait pas tomber, elle en était sûre. Elle avait besoin de lui et du réconfort qu’il lui apportait, la sécurité qu’elle réussissait à retrouver quand elle était dans ses bras alors que depuis la mort de son époux, le monde lui avait paru si hostile. Elle avait besoin de lui. Elle n’aimait pas être seule. Elle ne supportait pas ça. Elle ne voulait pas le perdre. C’était une conviction qui était ancrée au plus profond d’elle-même. Une conviction qui l’empêcha de réagir quand il rapprocha ses lèvres des siennes. Elle ne bougea pas plus lorsqu’il se décida à l’embrasser. Elle était folle. Toujours amoureuse de Galaad, ça aurait été mentir que de le nier, pourtant cet élan soudain d’affection, d’amour à son égard, c’était ce dont elle avait le plus besoin. La sensation de ne pas être complètement seule au monde, l’impression qu’elle pourrait connaitre des lendemains plus heureux si elle osait passer à autre chose. Il était encore tôt, Galaad ne l’avait pas quitté depuis très longtemps, même pas un ans. Huit mois et quelques jours. Sans doute aurait-elle du attendre, mais peut-être était-ce sa seule chance d’avancer enfin et puis, encore une fois, elle ne voulait pas le perdre.

LONDRES, ANNÉE 1977 ✲ « Tu as encore ça ? » Elle écarquilla les yeux, ne voyant pas de quoi il parlait alors qu’il fixait avec insistance sa poitrine. Elle baissa les yeux pour remarquer la chaine sur laquelle pendait encore son alliance et sa bague de fiançailles. quelques jours plutôt, il lui avait demandé de façon plutôt claire de se débarrasser de tout ce qui l’a rattaché à Galaad, ils étaient ensemble depuis quatre mois et il avait l’impression qu’elle n’avait pas tourné la page. Ce n’était pas qu’une impression. Il disait ne pas vouloir vivre dans l’ombre d’un fantôme, la vérité était qu’il savait que Galaad était encore en vie que par conséquent il était une menace pour leur couple, même si elle, elle le croyait mort. Elle plongea rapidement la chaine dans son décolleté, cachant les bagues derrière le tissu de son pull. « Oui. Je ne peux pas m’en débarrasser. » Tout comme elle n’avait su se débarrasser du reste. Toutes les affaires de son ancien compagnon étaient enfermés dans un garde meuble moldu, à Bath, un garde meuble au nom de sa meilleure amie, ainsi, il ne le retrouverait pas. Elle n’avait pas mis en vente leur ancienne maison comme elle l’avait déclaré. Elle en était incapable. « Tu ne peux pas rester attachée à lui toute ta vie. » Elle haussa les épaules avant de baisser les yeux vers le sol. « Je ne peux pas non plus l’oublier. On a été marié, je ne veux pas souiller complètement sa mémoire. » Il y avait un mot de trop dans sa phrase. La prochaine fois, elle se souviendrait du dicton débile qui disait qu’il fallait tourner sept fois sa langue dans sa bouche pour ne pas dire de bêtise. Complètement. Ce mot ne passerait pas inaperçu, elle le savait. « Complètement, qu’est-ce que tu entends par là ? » Elle laissa échapper un léger soupire avant de relever les yeux vers lui d’un air qu’elle voulait désolée. « Pardon, je … Oublie ça s’il te plait. » Ce qu’elle voulait dire, c’est qu’elle avait remplacé bien vite son mari, ainsi, elle avait l’impression d’avoir quelque peu bafoué sa mémoire. « Galaad est mort, il voudrait que tu continus ta vie, que tu sois heureuse, pas que tu restes attachée à des vieux souvenirs. » Elle sentie une certaine colère s’emparer de son être en cet instant précis. Vieux souvenirs n’étaient pas un terme approprié, il était mort depuis un an, et personne ne pouvait prétendre savoir ce que Galaad aurait voulu. « Tu sais pas ce qu’il aurait voulu ! On ne le saura jamais alors laisse moi faire comme je le sens ! » Il leva les yeux au ciel, sans doute quelque peu agacé par son entêtement à s’attacher à cet homme qui - à ses yeux à elle en tous cas - était mort. « Il n’en vaut pas la peine ! Il avait bien peu d’estime pour toi pour te laisser de côté alors qu’il cherchait à venger son frère ! » C’était sorti sans qu’il n’y réfléchisse et après coup, il était sûre que ça passerait mal. Rapidement il senti la main de la jeune femme venir bruler son visage dans un fort claquement. Il venait de se prendre une baffe bien méritée. Sans rien ajouté, elle pris quelques une de ses affaires pour les mettre dans le premier sac qu’elle trouva. « J’aurais pas du dire ça, je suis désolé. Où est-ce que tu vas ? » Elle lui lança un regard noir, presque terrifiant. « Je vais chez Arabella. » Elle descendit rapidement les marches pour quitter la chambre dans laquelle ils étaient, lui sur ses talons. « Attends, on peut en discuter ! » Elle se retourna vers lui rapidement, toujours cet air menaçant imprimé sur le visage. « Oui, quand je me serais calmée ! » Elle quitta rapidement leur petite maison, claquant la porte avec tout autant de violence qu’elle avait claqué sa joue.

Rickon S. Hackett & Mélisandre Bennett

Ils se connaissaient depuis quelques années déjà. Il venait souvent dans le bar de Mélissandre, écumer ses déboires. Elle l’avait écouté tellement de fois, sans doute avait-elle compati à son histoire tragique, son idolâtrie pour la femme d’un autre. Forcément, ça l’avait amusé d’entendre le nom de Leïa-Rose dans la conversation. Leïa-Rose cette fille avec qui elle s’entendait si mal à Poudlard. Elle était mariée avec Galaad finalement. Elle aurait parié que ça ne durerait pas. Elle voyait le mal partout, elle ne croyait pas en l’amour. Pourtant, elle voyait Rickon, soir après soir, lui parler de la belle Leïa-Rose. Elle était jalouse. Plus il venait, plus elle s’attachait à lui, alors que lui, il s’attachait à Leïa-Rose. Puis Galaad est mort, Rickon a saisi l’opportunité de se rapprocher de Leïa. Mélisandre était sans doute à y voir clair, elle qui connaissait si bien la vie de Rickon, elle qui connaissait si bien la vie de tant de gens. Il n’était pas venu depuis longtemps, pourtant, ce soir il était là dans son bar. Ça faisait bien quatre mois qu’elle ne l’avait pas vu, quatre mois qu’il filait l’amour parfait avec une femme qu’il avait volée à un autre. Ce soir, ça n’allait pas évidemment, il ne venait la voir que quand ça n’allait pas. Et elle s’en contentait sans vraiment l’admettre. Entre eux, c’était bizarre, comme toujours, il parlait, elle écoutait, elle apprenait. Elle en savait des choses. Elle savait même des choses sur la personne ayant tué les parents du jeune homme, un argument de taille, placé entre ses instants à pleurer Leïa qui lui filait entre les doigts. Elle s’en fichait bien de Leïa elle, elle avait glissé quelques idées dans sa tête, créant un doute qui boufferait un peu plus son pseudo couple avec Rickon. Il n’y avait que lui pour ne pas se rendre compte qu’il était une bouée de sauvetage qu’elle laissait peu à peu de côté maintenant qu’elle retrouvait le rivage, tout comme il n’y avait qu’elle qui ne se rendait pas à l’évidence, il avait profité de la mort de Galaad. Peut-être l’avait-il même tué de ses mains. Ce serait amusant aux yeux de la blonde amusant. Malheureusement, il lui manquait encore une part de vérité. Elle finirait par la découvrir. Ce soir là dans ce bar, elle lui murmura quelques mots, une promesse qu’elle l’aiderait. Elle avait des relations parmi les mangemorts, il voulait se venger de l’assassinat de ses parents, elle pouvait l’aider. Trahir son clan ? Elle n’avait pas de clan, juste une assurance vie selon elle. Ce soir là, il avait accepter son aide, se fichant bien des conséquence. S’il devait perdre Leïa, il ne lui restait plus rien qu’une envie de vengeance démesurée et Mélisandre. Mélisandre était bien là à ses côtés alors que Leïa semblait ne plus y être. Mélisandre, elle l’écoutait sans le juger, elle voulait l’aider. C’était bizarre ce qu’il ressentait pour elle. Un sentiment sans nom alors qu’il restait persuadé que son cœur appartenait encore à celle qu’il avait volé à son ami, un ami qui lui faisait confiance. Un jour Mélisandre sera la seule personne lui restant, ça il en était bien conscient.

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SCENARIO LIBRE ET TERMINÉ

Salut à toi, petit gens qui lit ce scénario. Déjà sache que je te remercie rien que parce que tu as eu la patience de le lire et sans doute parce qu'il t’intéresse, sinon, tu ne lirais pas ça.
Bref, j'ai quelques conditions pour ce scénario alors les voilà :
~ premièrement, les prénoms et le nom sont complètement négociables, je voudrais juste un nom à consonance anglaise, qui soit prononçable aussi (a)
~ deuxièmement, Paul Wesley est négociable n'hésitez pas à demander, je me réserve un droit de veto, biens-sûr (a)
~ troisièmement, j'aimerai quelqu'un d'actif c'est à dire déjà quelqu'un qui finisse sa fiche, c'est le minimum syndical mais qui en plus réponde régulièrement aux rps. Je ne dis pas que je veux quelqu'un qui soit la 7j/7, 24h/24 mais bon, quelqu'un qui vienne rp une a deux fois par semaine, ce serait déjà pas mal (a)
~ dernièrement, j'aime les rps assez complets, pas 15 pages de description, mais un rp d'une page works, je trouve ça très bien, j'aime vraiment qu'on décrive le ressenti du personnage, ses pensées ainsi que le décor alors voilà, si vous êtes du genre à baratiner tout ça dans vos rps, vous êtes parfait (a) Moi je suis du genre à faire ça en tout cas x)

Voilà, merci d'avoir lu tout ça et il va de soit que j'aime déjà la personne qui prendra ce scénario et que j'envisage de lui vouer un culte sans limite pour le restant de mes jours :bed: