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NOM : hobbs. PRÉNOM(S) : margaery, . ÂGE : trente-sept ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : au choix, en angleterre. STATUT DU SANG : sang-pur. MAISON : serdaigle. NIVEAU D’ÉTUDES : au choix. LIEU DE VIE : au choix. BAGUETTE : au choix. GROUPE : death eaters. CÉLÉBRITÉ : lana parilla. CRÉDITS :  thiswouldhavebeenenough@tumblr.

A savoir sur le personnage

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margaery est née dans une famille au sang-pur très réputée en Angleterre, les Hobbs ont, depuis longtemps, occupé des places à prestige au ministère de la magie, aujourd'hui encore, le nom de Hobbs reste évocateur de puissance pour les sorciers anglais. ☆ Dans la famille, il est coutume de faire du fils aîné l'héritier légitime ; cependant, le premier enfant né dans la lignée était margaery, une fille alors que son père voulait un garçon, ce dernier n'a jamais eu énormément de considération pour sa fille, cependant, il en a toujours eu beaucoup pour le frère cadet de cette dernière, ainsi, margaery a grandi dans l'ombre de son cadet ☆ Bien qu'habituée aux valeurs de sa famille, étant plus jeune, quand elle était à Poudlard, elle a choisi de suivre sa propre voie, au détriment de ses parents, c'est ainsi qu'elle a commencé à entretenir une relation avec Lenwood Holmes, un sang-mêlé venant d'une famille peu réputée. ☆ à Poudlard, c'était une étudiante brillante, elle pensait que grâce à ses excellents résultats, son père finirait par la remarquer, ça n'a jamais marché, mais elle a continué à travailler dur et s'est toujours fixé de grands objectifs ☆ il faut croire que son frère cadet a préféré suivre ses traces à elle plutôt que celles de son frère et très jeune, tout juste sorti de Poudlard, il s'est enfui avec une sorcière née-moldue avec laquelle il a eu un enfant alors qu'il était encore jeune, il a été ainsi déshérité par la famille Hobbs ☆ Margaery est soudainement redevenue importante aux yeux de son père, il n'avait plus de fils a qui transmettre ce qu'il devait transmettre, mais il avait encore sa fille, cette dernière travaillait et travaille encore pour le ministère de la magie, elle réussi toujours ce qu'elle entreprend et enfin, elle a eu la reconnaissance de son père, elle était âgée de vingt-et-un et enceinte quand son père est revenu vers elle. Il lui a fait comprendre qu'il serait fier d'elle si, contrairement à son frère, elle rejoignait pleinement les rangs de la famille. ☆ Peu de temps après avoir accouché, elle a quitté Lenwood et leur fille pour rejoindre sa famille, elle avait toujours rêvé de rendre son père fier d'elle, elle avait toujours voulu qu'il la reconnaisse et cesse de ne jurer que par son frère et enfin, elle avait cette chance, de son point de vue, elle ne pouvait pas passer à côté de cette chance ☆ rapidement, Margaery a rejoint les rangs des mangemorts, elle a su se montrer digne de son héritage, elle a également su gravir les échelons au ministère de la magie et elle s'est fait un nom au sein de ce dernier ☆ Récemment pourtant, elle a été rattrapée par ce qu'elle avait laissé derrière elle en rejoignant sa famille, jamais elle n'avait oublié le bébé qu'elle avait mis au monde et toute sa vie durant, elle avait regretté de l'avoir abandonnée. ☆ elle est responsable de la mort du frère de Lenwood, membre de l'ordre, au fond, elle voulait simplement se venger de son ex-petit-ami dont elle était jalouse, il avait après tout la garde de cette enfant qu'elle regrettait tant. ☆ quand il l'a retrouvé elle s'est arrangée pour le faire disparaitre, elle l'a enfermé au fond d'un cachot appartenant à la famille, puis elle a fait répandre la rumeur de sa mort dans le seul but de retourner vers sa fille et de tenter de regagner son affection.

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ex-petite amie ‹ « Tu ne devrais pas les écouter. » Assis sur l’un des murets du château, le jeune homme écoutait attentivement les paroles de son amie. La jeune serdaigle semblait avoir bien du mal à supporter sa famille, de son point de vu, elle se faisait su mal à essayer d’impressionner son père qui ne semblait pas vouloir la remarquer, alors même que lui, il ne voyait qu’elle depuis un long moment déjà. « C’est ma famille. Tu écoutes ta famille toi, non ? » Il haussa les épaules. Oui, il écoutait sa famille, sauf quand ça ne l’arrangeait pas. Certes, ça rendait sa mère folle parfois, mais dans la famille Holmes, les enjeux ne semblaient pas être les mêmes que chez les Hobbs. C’était compliqué chez elle de toute évidence, plus que ça ne le serait jamais chez lui. « Ma famille ne cherche pas à me dévaloriser alors, ce n’est pas pareil. » Elle baissa les yeux vers le sol d’un air triste. Elle aurait voulu qu’enfin son père la remarque pour ce qu’elle valait au lieu de systématiquement la dénigrer comme il le faisait, Lenwood le savait, ça lui faisait mal d’être aussi mal vue par son propre père malgré les efforts qu’elle faisait, sans doute qu’elle donnerait cher pour un peu de considération. « Tu ne peux pas continuer à te faire du mal comme ça, ils n’en valent pas la peine. » Il savait bien qu’il était en train de parler de sa famille, qu’elle était importante à ses yeux, il ne voulait pas lui faire du mal, bien au contraire, il voulait simplement qu’elle voit la vérité en face et qu’elle agisse avec moins de pression, plus de liberté, qu’elle essaie d’être heureuse. Il voulait qu’elle soit heureuse. Dès qu’il posait ses yeux sur elle, il ressentait le besoin de faire en sorte qu’elle puisse être heureuse. « Tu crois qu’il ne m’aime pas ? » Il n’en savait rien, il n’était pas dans la tête de son père et heureusement pour lui d’ailleurs, il y avait clairement quelque chose qui ne tournait pas rond dans la tête du patriarche Hobbs. « Je sais pas. » Il n’avait rien de mieux à répondre, il y avait pourtant des tonnes de phrases qui traversaient son esprit en cet instant, mais aucune d’elles ne semblait appropriée. « Je crois que j’aimerai avoir l’impression d’être aimée pour une fois. » Elle le méritait, ça ne faisait aucun doute pour lui. Ils s’étaient rencontré un peu par hasard leur de leur première année, condamnés à former un duo en cours de potion et ça faisait maintenant six ans qu’ils partageaient la même paillasse en cours de potions. Ils étaient devenus amis, de bons amis et au fil des années, alors qu’il vieillissait, il s’était rendu compte que c’était bien plus que de l’amitié qu’il ressentait pour la jeune femme. D’un bon, il était descendu du muret sur lequel il était installé pour se retrouver en face de la jeune femme. Il se décida alors à faire ce à quoi il ne cessait de penser depuis des mois, il déposa un baiser sur ses lèvres, aucune claque ne vint s’écraser contre sa joue, c’était déjà bon signe, au lieu de ça, elle répondit tendrement à son baiser. « Peut-être que je pourrais t’aider … » Elle lui adressa un sourire et il ne pouvait qu’être attendri par ses joues légèrement empourprées. C’était une journée parfaite, il n’avait pas vu les choses sous cet angle quand il s’était levé le matin, mais désormais, il en était sûr, la journée était parfaite. « Essaie de ne pas me décevoir alors. » Sur ces mots, elle attrapa ses mains avec douceur avant de venir chercher un nouveau baiser. Ça avait presque été une évidence pour tout le monde, à part pour eux deux, qu’un jour, Holmes et Hobbs finiraient ensemble.

« Madge ? » Aucune réponse ne lui parvint. Elle était encore là, elle l’entendait, mais elle ne voulait pas qu’il la voit. Il pouvait sentir son parfum dans la pièce, comme il l’avait senti le matin même avant de partir au travail, comme il avait l’habitude de le sentir depuis cinq ans maintenant. « Madge ? » Répéta-t-il une seconde fois, espérant que celle fois, elle daigne lui répondre. Elle n’en ferait rien. Elle ignorait les larmes qui coulaient sur ses joues, elle allait partir avant même qu’il ne la remarque, elle attendait juste le moment propice. Elle savait que ce moment viendrait, il était presque dix-neuf heures. Sinead n’allait pas tarder à se réveiller, le petit bébé qu’elle avait mis au monde quelques semaines plus tôt était réglé comme un papier à musique, ses pleurs n’allaient pas tarder à raisonner dans la maison, lui laissant l’occasion de transplaner sans même être entendue. Elle avait raison, bien vite la petite fille se mit à pleurer dans son berceau. Elle résista difficilement à l’envie de se jeter sur le berceau. Rapidement, Lenwood avait rejoint leur enfant, le fruit de leurs cinq ans d’amour. Dans un craquement sourd, elle quitta la maison, elle le savait, elle n’y remettrait plus jamais les pieds. Le sorcier s’occupa de la petite fille, toujours soucieux de savoir où était passée sa bien aimée, il n’avait pas entendu le son familier d’un transplanage, trop concentré sur les pleurs du bébé. Elle était partie et il fini par remarquer, alors que ses affaires avaient disparu de la penderie, qu’il ne restait d’elle que l’odeur de son parfum qui planait dans l’atmosphère, elle était partie sans rien dire. Elle ne reviendrait pas, il le comprit bien vite. Rapidement, on commença à parler d’elle, la digne héritière de la famille Hobbs qui faisait honneur à son père. Elle l’avait quitté pour retourner auprès de sa famille, elle avait abandonné sa propre fille pour retourner auprès d’un père qui n’avait jamais eu la moindre considération pour elle. Il lui en voulait, cet amour qui avait rythmé leurs vies pendant cinq ans, peu à peu s’était transformé en haine et en amertume et peu à peu, alors que les années passaient, qu’il voyait leur fille grandir, alors qu’elle, elle n’en avait que faire de son propre enfant, il oubliait cette haine, il oubliait leur passé, il avançait dans sa vie sans rien regretter. Margaery Hobbs n’en valait pas la peine et au bout du compte c’était elle qui avait définitivement tout perdu, certainement pas lui. Elle aussi elle continuait sa vie de son côté, transformant son cœur en une roche solide, impénétrable pour éviter d’être submerger par les regrets, envahie par une peine qu’elle ne pourrait pas combattre, il était trop tard à présent pour réparer ses erreurs, elle le savait parfaitement, croire le contraire aurait été de la folie.

Déjà, seize ans plus tôt, elle l’avait trahi. Elle était partie du jour au lendemain, sans même prendre le temps de laisser un mot, d’expliquer les causes de son départ. Il avait fini par l’oublier, il était passé à autre chose. C’était à présent une histoire qui appartenait à son passé. La seule chose qui restait de leur relation c’était Sinead, l’unique chose qu’il voulait en garder, elle était son enfant, ce bébé que Margaery avait osé abandonner des années plus tôt. Il n’avait jamais eu de nouvelles de la sorcière depuis le jour où elle était partie comme une voleuse et, les années filant, il avait fini par ne même plus vouloir entendre parler d’elle. Il ne pensait pas qu’elle entrerait à nouveau dans sa vie après tout ce temps et pourtant, il l’avait revue, avant de se réveiller enfermé, attaché Merlin seul savait où. Un moment d’inattention lui avait suffit pour qu’il se retrouve enfermé. Evincé du tableau comme l’avait si bien dit Margaery. Elle avait tué son frère quelques mois plus tôt et lentement mais sûrement, elle avait l’avait mené jusqu’à elle, attendant qu’il tombe dans son piège. Ce qu’il avait bêtement fait. Il ne savait même pas depuis combien de temps il était là, des jours, des semaines, c’était difficile à dire. Trop longtemps, sans l’ombre d’un doute, il était là coincé pendant qu’elle, elle pouvait aisément détruire tout ce qu’il avait construit durant des années. Elle le lui avait dit, elle était même venue lui montrer l’article de la gazette du sorcier qui traité de sa mort. Pendant qu’il était là, enfermé à sa merci, le reste du monde était persuadé qu’il était mort. Il était auror à une époque où les mages noirs étaient particulièrement nombreux, ainsi il n’était pas franchement étonnant qu’il ait pu trouver la mort en exerçant son métier. Il détestait l’idée cependant d’être enfermé là à penser à sa fille qui devait tant bien que mal faire son deuil, cette fille dont Margaery avait apparemment envie de se rapprocher, chose qu’il ne pouvait pas tolérer, elle n’était devenue qu’un monstre, à l’image du reste de famille, un mangemort parmi tant d’autres et elle pouvait aisément éliminer Aerys en moins de temps qu’il n’en fallait pour le dire. Aerys n’était qu’une moldue et sans doute qu’elle représentait le seule obstacle entre Margaery et sa fille. Elle était sa tutrice légale, ils l’avaient décidé au moment où ils s’étaient fiancés. S’il devait mourir, elle aurait la garde de Sinead. Une idée qui ne plairait certainement pas à Margaery, il ne doutait pas qu’elle puisse être devenue comme le reste de sa famille, aussi aigrie, elle devait détester les moldus comme les nés-moldus. Il devait sortir de là, pour sauver sa fille de la folie de sa mère, il devait la rassurer, il voulait la retrouver. Il voulait également protéger Aerys, revenir dans sa vie, l’épouser comme ça avait été prévu. De plus, il devait toujours venger son frère, que ce soit Margaery ou n’importe quel autre mangemort, ça n’avait rien changé à son objectif, son frère cadet méritait d’être venger, sans doute que, se retrouver dans une telle posture lui permettait de ressentir encore plus de rage à l’encontre de celle qui avait assassiné son cadet. Il finirait par sortir de là et il rétablirait la vérité, là, au fond de sa geôle froide et humide il s’en faisait la promesse à lui-même.

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