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NOM : rowle, née selwyn. PRÉNOM(S) : rhaenys, nymeria. ÂGE : quarante-trois ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : au choix, peakshire en écosse. STATUT DU SANG : sang-pur. MAISON : serpentard. NIVEAU D’ÉTUDES : études terminées. LIEU DE VIE : peakshire en écosse. GROUPE : death eaters. CÉLÉBRITÉ : lena headey. CRÉDITS : nightlyallaround@tumblr.

A savoir sur le personnage

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rhaenys est née dans une famille de sang-pur très conservatrice, pleine de valeur traditionnelles et voulant à tout prix conserver la pureté du sang de la famille, c'est ainsi qu'il a été convenu, très tôt au cours de sa vie, qu'elle épouserait l'enfant de la famille rowle, lui aussi issu d'une famille de sang-pur ☆ elle a reçu une excellente éducation, très noble et humble, longtemps, elle a considéré son union avec le fils rowle comme un honneur, c'était une chose dont elle était très fière, au moins en apparence ☆ douée pour la comédie, elle a toujours su cacher ce qu'elle pensait vraiment, derrière un beau sourire, en vérité cette histoire de mariage forcé lui a toujours donné l'impression que sa famille ne la considérait guère plus que du bétail qu'ils pouvaient vendre comme bon leur semblait ☆ elle s'est cependant marié, très jeune, tout juste après sa sortie de Poudlard, une épreuve difficile, certes, mais elle a su garder la tête haute et faire comme s'il s'agissait bel et bien du plus beau jour de sa vie ☆ elle est tombée très vite enceinte suite à cette union, elle a mit son premier fils au monde à l'âge de dix-huit ans, sa fille ensuite, un an plus tard. Elle voit en ses enfants la plus belle réussite de sa vie et si elle n'a que peu de considération pour son mari, elle ferait n'importe quoi pour ses enfants ☆ Elle a essayé de les éduquer de son mieux, les préparant au destin auquel ils étaient voués, elle-même particulièrement déçu de ses histoires d'amour, elle a voulu leur éviter de finir aussi aigri qu'elle, en leur apprenant à se faire à l'idée d'un mariage forcé. ☆ elle a eu de nombreux amants au cours de sa vie, dont elle avec qui elle avait une véritable histoire d'amour, récemment, son mari a toujours été au courant des adultère de sa femme, mais ça n'avait que peu d'importance, après tout, il n'était pas franchement mieux ☆ son mari s'est servi de cette relation avec son amant pour la menacer, ainsi, elle n'a eu d'autres choix que de prendre ses enfants en mains, faire en sorte qu'ils retournent sur le "droit chemin" et épousent des sang-purs plutôt que les personnes qu'ils avaient choisi ☆ elle regrette tout ce qu'elle a pu faire et voue une grande haine a son mari, qu'elle ne peut malheureusement pas exprimer, sachant qu'elle risquerait sa vie, celle de l'homme qu'elle aime et potentiellement celle de sa fille (son mari n'irait pas tuer leur fils, digne héritier de la famille). ☆ c'est une sorcière brillante, elle appartient aux mangemorts depuis que l'armée à été créée, elle n'est pas forcément dans l'idéal sang-pur, elle considère que c'est une vision de voir les choses qui les a beaucoup fait souffrir, elle et ses enfants et qu'ainsi ça n'a pas de sens, cependant, elle obéit aux ordres sans poser de questions pour maintenir l'illusion.

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fils ‹ « Iron ? » Un soupire passa le seuil de ses lèvres alors qu’il redressait la tête vers sa mère. Il aurait mieux fait de rester chez lui aujourd’hui. Affronter le reste du monde était bien la dernière chose dont il avait envie. Il ne pouvait pas cependant, laisser tomber sa mère. Déjà, Amatis n’avait pas pu venir alors si lui aussi il lui avait fait faux bond, leur pauvre mère se serait retrouvée seule, à l’heure du thé. C’était un rituel, tous les dimanches, toutes les deux semaines, il retrouvait sa mère pour l’heure du thé. Sa mère avait toujours été là pour lui, elle avait palier à l’absence de son père, lui qui avait d’autres obligations que celles de s’occuper de ses enfants. Ils n’avaient pas été très présents durant leur enfance. Sa mère elle en revanche, elle avait toujours été là, le soutenant dans ses choix, même les pires qu’ils pouvaient prendre. Quand il lui avait parlé de Ceirdwenn, elle lui avait conseillé d’écouter son cœur, elle se fichait qu’il soit tombé amoureux d’une sang-mêlée, ce qui comptait, c’était qu’il soit heureux. S’il avait bien du mal avec son père qui a jamais serait cet homme distant qui lui avait dicté bien des conduites, sa mère elle, était l’une des femmes les plus précieuses de sa vie, avec Amatis et Ceirdwenn. Ceirdwenn. Il tira de sa poche la bague de fiançailles qu’il avait offert à la dite Ceirdwenn plusieurs mois plus tôt, celle qu’il avait trouvé sur son oreiller le matin en se réveillant, alors que la propriétaire avait complètement disparu. « Elle est partie. » Sa mère fronça les sourcils, peinée par la nouvelle. Faussement peinée, parce qu’ai fond, elle savait très bien que Ceirdwenn était partie. Elle l’avait empoisonnée pour tuer l’enfant qu’elle portait, un enfant dont elle aurait dû être la grand-mère mais qui n’était qu’un bâtard qui ne pouvait définitivement pas voir le jour, selon le père Rowle en tous cas. Elle avait fait fuir la jeune sang-mêlé, l’obligeant à déguerpir au plus vite, elle n’était pas faite pour son fils, une sang-mêlé ne pouvait pas épouser son fils, c’était ainsi, c’était la volonté de son époux et si elle ne l’avait pas fait, elle le savait les conséquences auraient été tragiques. Iron ne savait rien de tout ça, il n’avait même pas su que sa bien aimée attendait un enfant, tout ce qu’il savait c’était qu’elle était partie, sans un mot, sans rien, elle l’avait juste laissé tomber comme s’il n’avait pas eu d’importance dans son existence. Il l’avait pourtant aimée, il aurait fait n’importe quoi pour elle, mais elle était partie comme une voleuse, c’était la version de l’histoire qui restait et, voir cet air triste sur le visage de son fils brisait le cœur de Rhaenys. Ce qui était fait était fait. Comme poussé par son instinct, c’était auprès de sa mère qu’il était revenu chercher le réconfort et tant qu’il ignorait la vérité, elle serait encore en mesure de faire, tout ce qui était en son pouvoir pour apaiser un peu sa peine, c’était son rôle de mère, aujourd’hui comme vingt-cinq ans plus tôt quand il n’avait été qu’un nouveau né. Elle avait commis des erreurs, mais alors elle qu’elle s’était rapprochée de son fils pour l’enlacer, elle voulait croire qu’il n’était pas encore trop tard pour les réparer.

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